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Home Santé Recherche : en 2022, l'AVC n'est plus une fatalité !

En France, un AVC survient toutes les quatre minutes. C’est la première cause d’incapacité physique acquise chez l’adulte et la première cause de décès chez la femme. Environ 30 % des patients décèdent l’année suivante, tandis que 70 % auront des séquelles invalidantes, généralement des troubles moteurs ou de la parole, ce qui en fait un véritable problème de santé publique. « Mais en 2022, l’AVC n’est plus une fatalité ! » précise le réseau Strokelink, désigné F-CRIN (Réseau Français d’Infrastructures de Recherche Clinique) comme un organisme d’excellence au service de la recherche clinique française. Cinq médecins* échangent sur les avancées médicales en vue du 29 octobre 2022, journée mondiale dédiée à cette maladie qui touche brutalement plus de 150 000 personnes en France et plus de 15 millions dans le monde chaque année.

Question : Comment prévenir le risque d’accident vasculaire cérébral ?Strokelink : Il existe plusieurs facteurs de risque comme l’obésité, le tabagisme, le cholestérol… Le premier est l’hypertension artérielle, il est nécessaire de mesurer la tension artérielle assez régulièrement car plus de 50 % des hypertendus n’en sont pas conscients. De manière générale, il est conseillé d’adopter une hygiène de vie saine : avoir une alimentation équilibrée, limiter sa consommation d’alcool, arrêter de fumer et pratiquer une activité physique régulière.

Q : Quels sont les traitements actuellement disponibles ? Q : Les traitements dépendent du type d’AVC, qui a été précédemment identifié par l’imagerie cérébrale (scanner ou IRM). Il en existe deux : l’AVC ischémique ou infarctus cérébral (80 % des cas) après obstruction d’une artère cérébrale et l’AVC hémorragique (20 % des cas) dû à la rupture d’un vaisseau sanguin dans le cerveau.

Dans le premier cas, la thrombolyse intraveineuse dissout le caillot obstruant l’artère cérébrale, tandis que dans le second les neuroradiologues captent le caillot circulant dans les vaisseaux sanguins. Ces traitements ont révolutionné le pronostic des patients atteints d’infarctus cérébral : 40 % de ceux qui bénéficient d’une thrombolyse suivie d’une thrombectomie mécanique n’ont aucune séquelle à leur sortie d’hôpital.

Des traitements sont alors prescrits pour prévenir les récidives. Ceux-ci seront adaptés à la cause de l’AVC et aux facteurs de risque vasculaire du patient. Pour réapprendre à marcher voire à parler, les patients bénéficient également de soins de rééducation, élément essentiel pour en limiter les conséquences.

Q : Quels sont les essais cliniques actuels auxquels Strokelink participe ? S : En 2022, nous participons à plusieurs études dont l’une, mondiale, concerne la prise en charge en urgence des hémorragies cérébrales (TICH3-Fr), et l’autre vise à évaluer le bénéfice de la thrombectomie chez les patients ayant un infarctus cérébral étendu avec une ischémie la pénombre (FRAME LP), une zone du cerveau touchée par un accident vasculaire cérébral où il y a un manque d’oxygène. D’autres études débuteront en 2023, notamment pour identifier de nouvelles molécules permettant de réduire le risque d’infarctus cérébral récurrent, en collaboration avec des partenaires industriels.

De plus, en termes de recherche en pathologie neurovasculaire, Starklink soutient désormais toutes les étapes de développement des projets de recherche clinique sur les AVC. La labellisation F-CRIN permet d’accroître la visibilité des équipes de recherche sur l’AVC et place la France dans un écosystème international riche.

Q : Pourquoi est-il important d’appartenir à cet écosystème international ? Q : La recherche sur l’AVC nécessite une collaboration internationale. C’est pourquoi notre réseau, qui vise à faciliter la conception, le financement et l’organisation d’études de recherche et d’essais cliniques sur cette maladie, rejoint cette année le Réseau européen de recherche sur l’AVC (ESOTA). L’objectif : permettre aux patients français d’accéder rapidement à des thérapies innovantes développées au sein de consortiums européens.

Q : En quoi 2022 est-elle stratégique pour les AVC ? S : Il symbolise l’émergence d’un réseau de recherche regroupant tous les acteurs impliqués dans le traitement des AVC. Grand espoir pour les personnes concernées ! En coopération avec les sociétés savantes, la sensibilisation du public est essentielle. Chaque citoyen doit être en mesure de reconnaître les signes d’un « attentat ».

Q : Plus précisément, comment reconnaître un AVC et que faire lorsqu’il survient S : Véritable urgence médicale, un AVC nécessite un traitement immédiat. Les symptômes apparaissent soudainement, un seul d’entre eux suffit pour appeler 15 FAST : V – visage déformé ; I – inertie des membres ; T = trouble de la parole ; E – En cas d’urgence appeler le 15). Le patient sera alors référé, dans les meilleurs délais, à l’une des 130 unités neurovasculaires spécialisées dans le traitement des AVC, réparties sur tout le territoire et ouvertes 24h/24 et 7j/7. Pour limiter les conséquences, chaque minute compte !

* Pr Charlotte Cordonnier (Neurologue CHU de Lille, Coordinateur StrokeLink), Pr Jean-Marc Olivot (Neurologue Université de Toulouse, Coordinateur StrokeLink), Pr Isabelle Bonan (Présidente de la Société Française de Médecine Physique et de Réadaptation, CHU de Rennes), Pr Karim TAZAROURTE (Président de la Société Française de Médecine d’Urgence, CHU de Lyon) et Pr Benjamin Gory (Neuroradiologue, CHU de Nancy)

Le risque d’un deuxième AVC augmente avec la présence d’un anévrisme : un renflement dans une artère qui crée une faiblesse dans la paroi des vaisseaux sanguins, augmentant le risque de rupture (AVC hémorragique).

Quels sont les premiers soins pour un AVC ?

AVC : gestes utiles avant l’arrivée des secours

  • allonger le patient avec, si possible, un oreiller sous la tête ;
  • notez l’heure à laquelle les premiers signes d’AVC sont apparus. …
  • si possible, combiner prescriptions et prises de sang récentes ;
  • ne forcez pas la personne à boire ou à manger;

Quelle position en cas d’AVC ? Au lit, le patient est placé en position couchée, un oreiller est placé sous la tête pour la relever à 30° et éviter que le cou ne se plie latéralement. Le membre supérieur est posé sur un oreiller, le bras est en rotation neutre, en abduction à 60°, antépulsion à 30°, coude fléchi à 40°.

Comment arrêter un début d’AVC ?

Le traitement d’urgence d’un accident vasculaire cérébral est la thrombolyse, une technique médicale qui vise à dissoudre rapidement un caillot sanguin obstruant une artère cérébrale. Ce traitement ne donne aux médecins que quelques heures pour réagir et arrêter l’AVC.

Quel remède naturel pour traîter un AVC ?

Vitamine D Il a été démontré que la supplémentation en vitamine D « améliore considérablement les résultats 3 mois après un AVC ». Probiotiques. Prendre des probiotiques pour améliorer la santé de l’estomac peut également servir à améliorer le cerveau via la connexion estomac-cerveau.

Quels sont les signes évocateurs d’un AVC ?

Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d’un AVC sont les suivants : Faiblesse d’un seul côté du corps. engourdissement ou picotements au visage, aux mains ou aux pieds. difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.

Quel traitement après un petit AVC ?

La rééducation est une étape fondamentale du traitement de l’AVC. Elle doit commencer le plus tôt possible, dès que l’état de santé le permet. Elle débute généralement à l’hôpital, se poursuit à domicile ou dans un centre spécialisé selon les cas. La réhabilitation a trois objectifs principaux.

Est-ce qu’on se remet d’un AVC ?

Oui, il y a toujours récupération spontanée, plus ou moins importante et plus ou moins visible, quel que soit le type d’AVC. Même sans actions spéciales, l’état du patient s’améliore généralement. L’hémiplégie, totale d’abord, s’atténue souvent dans les mois qui suivent l’AVC, puis le patient remarche parfois.

Quel traitement pour un petit AVC ?

La première technique est la thrombolyse, c’est-à-dire l’injection d’un produit destiné à dissoudre le caillot. La thrombolyse n’est efficace que dans les 4 à 5 premières heures après le début de l’AVC. Il existe une autre réponse thérapeutique plus récente : la thrombectomie.

Quel sport pour éviter AVC ?

Marche, vélo, natation, yoga… Une activité physique régulière et appréciée réduit le risque d’AVC.

Comment soigner un AVC naturellement ? Vitamine D. Il a été démontré que la supplémentation en vitamine D « améliore considérablement les résultats 3 mois après un AVC » avec les probiotiques. Prendre des probiotiques pour améliorer la santé de l’estomac peut également servir à améliorer le cerveau via la connexion estomac-cerveau.

Quel aliment provoque un AVC ?

Une consommation excessive de sel, de sucre et de graisses saturées est associée à un risque accru d’accident vasculaire cérébral. Le sel augmente la tension artérielle, qui est un facteur de risque majeur d’AVC. Le sucre et les boissons sucrées sont liés à l’obésité et au diabète, deux facteurs de risque d’AVC.

Quel fruit contre AVC ?

Ceux qui mangeaient au moins 200 g de fruits et légumes (agrumes, pommes, avocats, concombres, courgettes, etc.) avaient également un risque moindre d’AVC ischémique. A l’inverse, le risque était plus élevé avec une forte consommation de viande rouge (plus de 50 g par jour).

Est-ce que le stress peut provoquer un AVC ?

Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladie cardiaque et d’accident vasculaire cérébral.

Qui est le plus touché par les AVC ?

Un quart des AVC surviennent chez des personnes de moins de 65 ans, la moitié chez des personnes âgées de 65 à 84 ans et un autre quart chez des personnes de plus de 85 ans. L’AVC est la 3e cause de décès et la 2e cause de démence.

Qui a le plus d’AVC ? pour les plus pauvres. Ces disparités sont encore plus prononcées dans la tranche d’âge 45-64 ans, puis disparaissent dans les années plus âgées (plus de 85 ans). Chez les personnes les plus humbles, les AVC sont plus fréquents et le risque de séquelles est plus important.

Qui sont les victimes d’AVC ?

Chaque année, 150 000 personnes sont victimes d’un AVC, plus de 110 000 sont hospitalisées et 30 000 meurent. Cette pathologie représente la première cause nationale de handicap acquis chez l’adulte : plus de 500 000 Français en vivent les séquelles.

Pourquoi AVC chez les jeunes ?

Les causes d’accident vasculaire cérébral hémorragique chez les enfants comprennent : une malformation ou une maladie de l’artère ; tumeur au cerveau; dans de rares cas, abus de drogue ou d’alcool chez la mère.

Qui est sujet à un AVC ?

Les personnes à risque d’accident vasculaire cérébral (AVC) sont les personnes ayant déjà subi un accident ischémique transitoire (mini-AVC), les personnes cardiaques, les personnes diabétiques, les personnes souffrant de migraines, etc.

Qui fait le plus d’AVC homme ou femme ?

Globalement, le nombre total d’AVC est plus élevé chez les femmes que chez les hommes, avec une mortalité plus élevée chez les femmes 1. Cependant, ces chiffres masquent de grandes différences, notamment liées à l’âge et à la région. Le risque d’accident vasculaire cérébral d’un individu est lié à des facteurs de risque vasculaires.

Qui font des AVC ?

Un accident vasculaire cérébral, aussi souvent appelé « accident vasculaire cérébral », survient lorsque le flux sanguin vers ou dans le cerveau est interrompu en raison d’un vaisseau sanguin obstrué (l’AVC ischémique le plus courant) ou d’une rupture d’un vaisseau sanguin (AVC hémorragique), chez moins de 15 % cas.

Qui est touché par un AVC ?

L’AVC ne touche pas que les personnes âgées. 25 % des AVC surviennent chez des personnes de moins de 65 ans. Parmi les facteurs de risque, il y a bien sûr des causes médicales telles que l’hypertension artérielle, le diabète ou l’obésité.

Quel aspirine pour AVC ?

Comment prendre de l’aspirine en cas d’infarctus du myocarde ou d’AVC non hémorragique ? Pour le traitement d’urgence de l’infarctus du myocarde et de l’accident vasculaire cérébral (non hémorragique), une dose de 160 à 300 mg d’aspirine est recommandée.

L’aspirine débouche-t-elle les artères ? L’aspirine réduit le risque de formation de caillots dans les artères en empêchant les plaquettes sanguines de s’agglutiner. Les plaquettes sont des cellules sans noyau, trois fois plus petites que les globules rouges, dont le rôle est de colmater les fuites.

Quelle type d’aspirine pour fluidifier le sang ?

Après un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque, Aspirin protect favorise la fluidification du sang, évitant ainsi un nouvel accident. En cas d’accident vasculaire cérébral non hémorragique ou d’infarctus du myocarde, prendre en urgence une dose de 160 à 300 mg d’aspirine.

Est-ce que l’aspirine fait fluidifier le sang ?

Comment fluidifier le sang ? L’aspirine empêche l’agrégation plaquettaire par un mécanisme spécifique. Après ingestion, l’aspirine est absorbée par le tube digestif. Cette absorption se fait en 30 à 60 minutes.

Quelle aspirine prendre ?

La posologie usuelle est de 1 comprimé effervescent à 500 mg, à renouveler si besoin au bout de 4 heures minimum. En cas de douleurs plus intenses ou de fièvre, 2 comprimés effervescents à 500 mg, à renouveler si besoin au bout de 4 heures minimum, sans dépasser 6 comprimés effervescents par jour.

Comment arrêter un début d’AVC ?

Le traitement d’urgence d’un accident vasculaire cérébral est la thrombolyse, une technique médicale qui vise à dissoudre rapidement un caillot sanguin obstruant une artère cérébrale. Ce traitement ne donne aux médecins que quelques heures pour réagir et arrêter l’AVC.

Quels sont les signes évocateurs d’un AVC ?

Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d’un AVC sont les suivants : Faiblesse d’un seul côté du corps. engourdissement ou picotements au visage, aux mains ou aux pieds. difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.

Comment stopper l’AVC ?

Traitement médicamenteux après un AVC ischémique ou un AIT (accident ischémique transitoire) Les médicaments antiplaquettaires sont prescrits après un AVC ischémique. Ils empêchent le collage des plaquettes sanguines et donc la formation de caillots.

Quel médicament prendre pour éviter un AVC ?

Le médicament antiplaquettaire le plus connu et le plus utilisé est l’acide acétylsalicylique (AAS), mieux connu sous le nom d’aspirine. Votre médecin vous dira si vous pouvez prendre de l’AAS et quelle quantité vous devez prendre pour réduire votre risque d’AVC.

Quels sont les signes d’un début d’AVC ?

Les principaux signes avant-coureurs et symptômes d’un AVC sont les suivants : Faiblesse d’un seul côté du corps. engourdissement ou picotements au visage, aux mains ou aux pieds. difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres.

Quel médicament pour prévenir l’AVC ?

Le traitement à long terme de l’AVC vise à prévenir la formation de nouveaux caillots chez les patients qui ont subi un AVC ischémique. Ce sont essentiellement des antiagrégants plaquettaires (aspirine ou clopidogrel).

Pourquoi les AVC surviennent le matin ?

Trois raisons sont généralement invoquées pour expliquer le risque accru de mort subite le matin, entre 6 et 9 heures. Augmentation physiologique de la tension artérielle, de la fréquence cardiaque et de la libération d’hormones telles que le cortisol dans le sang à cette heure de la journée.

Pourquoi caresser la nuit ? Une sieste de plus d’une heure et demie augmenterait le risque d’AVC de 25% par rapport à une sieste de moins de 30 minutes. La qualité du sommeil, lorsqu’elle est mauvaise, affecte aussi négativement notre santé. Cela augmenterait le risque d’AVC de 29 %.

Comment savoir si on a fait un AVC pendant la nuit ?

Survenant parfois pendant le sommeil, ces symptômes peuvent apparaître brutalement ou au contraire s’imposer en quelques minutes ou quelques heures. Certains des symptômes les plus courants incluent : Faiblesse musculaire ou engourdissement du visage, des bras ou des jambes.

Comment savoir si mini AVC ?

faiblesse d’un côté du corps. engourdissement ou picotements au visage, aux mains ou aux pieds. difficulté à parler ou à comprendre ce que disent les autres. troubles visuels, tels qu’une vision double ou une incapacité à voir, en particulier d’un œil.

C’est quoi un mini AVC ?

Un mini-AVC est une forme moins grave d’AVC. Elle survient lorsque l’apport sanguin à une partie du cerveau est interrompu. Elle est généralement causée par un caillot de sang bloquant une artère qui irrigue le cerveau.

Quand surviennent les AVC ?

Traitement d’urgence en cas d’AVC Un AVC nécessite un traitement immédiat. 20 % des personnes victimes d’un AVC meurent dans les semaines qui suivent l’accident et plus de 30 % ont des séquelles permanentes (hémiplégie, troubles de la parole, handicap, etc.).

Qui peut provoquer un AVC ?

Excès de cholestérol. Manque d’activité physique régulière. Forte consommation de boissons alcoolisées. Prise de certains médicaments, par exemple prise de traitements hormonaux de la ménopause pendant plusieurs années.

Quels sont les alertes d’un AVC ?

La population doit pouvoir reconnaître au moins les trois signes les plus courants d’un AVC : déformation de la bouche, faiblesse d’un côté du corps (bras ou jambe), trouble de la parole.

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