Il y a quelques semaines, un article insolite a attiré l’attention de la rédaction de NT. Ce négationniste prétendait connaître les jeux les plus addictifs du moment… Un peu sceptique, mais surtout très curieux, nous voici en train de décortiquer ces lignes, exprimant nos avis respectifs. Bien sûr, difficile de séduire tout le monde, chacun peut facilement défendre son jeu préféré avec une argumentation soutenue et fournie. Mais là. Il y avait un jeu amusant sur le terrain que nous n’avions pas encore testé et qui a soudainement fait surface avec un potentiel addictif notable. Nous n’avions pas besoin de plus…
LittleWood s’est donc invité au NT pour se justifier…. en voici une qu’on attendait au tournant, face à une concurrence aussi remarquable et célèbre que Stardew Valley, et bien sûr on n’en reparlera pas, face à Animal Crossing. Mais alors que se cachait derrière ce joli titre et ce look rétro ? Perdrait-on vraiment l’envie de boire, de manger et même de dormir, pour se consacrer totalement à la ville du bâton ?
Développé par Sean Young et édité par Smashgames, LittleWood invite rapidement le joueur à participer à la grande aventure à laquelle il a été convié. Un menu principal très simple, une sélection tout aussi rapide de notre personnage, on est vite plongé dans le vif du sujet. Après un long sommeil de 3 jours, notre héros ouvre enfin les yeux sur « LittleWood » (le nom de la ville est modifiable), ou du moins ce qu’il en reste (pas grand chose). A ce stade, tout le drame n’est pas encore très clair, mais l’urgence de la situation est indubitable : tout sera à reconstruire ! Et toute bonne charité commence par soi-même (je plaisante !) : les plans de notre maison nous sont proposés rapidement et en quelques mouvements de manette, nous avons un toit au-dessus de nos têtes et même un lit. Trois jours de sommeil, c’est épuisant…!
La simplicité des gestes est immédiatement impressionnante : notre maison (et toutes celles à venir…) se pose avec une facilité déconcertante, comme s’il s’agissait d’une simple brique « Lego » à poser sur son socle. La seule condition pour ces DIY est de passer en mode construction dans le menu. Accès facile et rapide, une simple clé permet d’ouvrir tous les onglets possibles du jeu (notamment l’inventaire, un journal, le menu construction… et la sauvegarde !).
Particulièrement bien accueilli dans cette petite ville en plein essor, le joueur est invité à arpenter la zone avec précaution et à récolter tout ce qu’il peut dans ses poches sans bornes. Ainsi, les ressources les plus classiques seront là, comme les mètres cubes de bois (ces poches sont vraiment grosses !), les nombreux cailloux, mais aussi les poissons de pêche, ou encore les insectes que vous avez pêchés. votre réseau. Oui, vous connaissez déjà la chanson…!
Et pourtant, malgré les tâches bien connues des amateurs du genre, LittleWood offre une attractivité singulière avec une facilité d’action appréciable : toutes les actions s’effectuent d’une seule frappe. S’il vous faut encore lever votre canne à pêche à temps, vous ne devriez pas avoir trop de mal à remplir votre sac de poissons divers… avant de les offrir généreusement au musée local (hé, cette chanson là le sait aussi !).
Pour ouvrir le champ des possibles, le joueur pourra assembler rapidement un système de montgolfière qui lui permettra de voyager dans différents pays. Ils seront lancés de manière procédurale (miam), tout en se concentrant sur un aspect précis. Ainsi, la mine offrira toutes sortes de minerais, tandis que la forêt sera riche en bois (oh !) et en animaux divers.
La facilité d’action de LittleWood donne envie d’aller de plus en plus loin, de récolter de plus en plus de ressources… tout est facile, mais demande un peu de patience. Les ressources s’épuisent très rapidement et vous devrez revenir régulièrement fouiller dans toutes sortes de choses pour améliorer votre ville. Les améliorations sont vraiment au cœur des nombreuses évolutions du jeu : la montgolfière pourra voyager encore plus loin, vos chances d’obtenir des bonus à la scierie augmenteront, etc. Ces développements nécessitent beaucoup de ressources pour être mis en œuvre, mais leurs avantages sont indéniables.
Même ainsi, soyez prudent. N’espérez pas fouetter pendant des heures… rappelez-vous que vous pouvez encore dormir 3 jours, et c’était indispensable pour que vous construisiez rapidement votre lit ! Et pour cause… le rythme du jour et de la nuit est bien présent et, surtout, il accompagne votre ressource énergétique. Une barre symbolisant ce dernier est visible en haut de l’écran. La fatigue arrive très (trop) vite, et attention à qui ne se glisse pas sous la couette au bon moment… il se réveillera le lendemain avec plein de drapeaux !
Cette ville sera complètement à l’image du joueur. Les habitants seront de plus en plus nombreux et, bien sûr, il convient de prendre le temps de discuter avec eux pour augmenter le lien d’amitié (ou d’amour…) qui unit le joueur à eux. Ces relations sont résumées dans le menu, permettant à chacun de jeter son dévolu sur le personnage de son choix. De plus, il est fortement recommandé de toujours être accompagné avant d’entreprendre toute tâche… un petit conseil !
Chaque petit personnage voudra vivre dans une maison qui lui ressemble, avec des meubles et des couleurs particuliers. Toutes ces envies se résument à votre bureau respectif qu’il faut construire rapidement pour répondre à tous les petits caprices de vos amis. Les décors sont (très) nombreux et il faudra plusieurs dizaines d’heures au joueur pour satisfaire tout ce petit monde…
En effet, si la construction elle-même est très rapide, il en va autrement pour l’acquisition de tout le contenu du jeu. Certains seront embêtés de devoir retourner tous les jours au magasin pour attendre de trouver l’objet manquant (bon… ça ne vous rappelle rien… ?), tandis que d’autres se délecteront d’acheter tout, tout, tout ! Cette longue quête est finalement le cœur du jeu, et sa lente progression progressive donne à l’aventure son aspect addictif.
Les plus doués en urbanisme (et combien d’entre vous ont ce talent fou dans les jeux vidéo !) feront de leur mieux pour faire de ce bout de terre un joli petit coin où il fait bon vivre. Du relief aux petites fleurs, en passant par les nombreux animaux, votre ville sera bientôt pleine de vie et de couleurs…
Oubliez les graphismes détaillés et réalistes. Mais ouvrez les yeux sur un petit monde plein de couleurs, avec des personnages aux personnalités notables grâce à quelques lignes équilibrées et des histoires bien écrites. Nul doute que vous serez enchanté par un ou plusieurs de ces habitants (votre âme sœur ?), dont l’histoire se déroule au fil des jours et des saisons.
Les saisons ponctuent avec élégance l’or doux de couleurs dans l’air du temps. Tout se mêle à l’intelligence, et même si ce type de travail est fréquent de nos jours, il est toujours bon de trouver un semblant de réalisme dans des jeux où la nature joue son rôle.
La musique, en revanche, nous a laissé un peu indifférents. Il n’a pas besoin de couper, il accompagne le joueur, mais il sait se faire oublier…
LittleWood est disponible sur l’eShop de la Nintendo Switch pour une dizaine d’euros.
Conclusion
Sommaire
LES PLUS
LES MOINS
Détail de la note
Quel Switch pour taper du code ?
Comme pour MX Blue, MX Brown offre une sensation tactile sans le fameux « clic ». Ils sont donc plus silencieux, mais le retour haptique est également moins perceptible. Ce sont des commutateurs très présents sur le marché pour être polyvalents, aussi appréciés pour les jeux que pour l’écriture.
Comment insérer un code dans le switch ? Marche à suivre:
- Sélectionnez « Nintendo eShop » dans le menu HOME pour accéder au Nintendo eShop.
- Sélectionnez le compte que vous souhaitez utiliser.
- Sélectionnez « Code d’enregistrement » à gauche de l’écran.
- Entrez votre code de téléchargement à 16 caractères. …
- Sélectionnez « OK ».
Quel switch pour coder ?
Quel changement au code ? Les switchs les plus courants de nos jours sont les MX Blue (50g), Brown (45g), Black (60g) et Red (45g), même si on retrouve de plus en plus le récent MX Green (tactile, 80g) et un retour du MX Clair (toucher, 55g) sorti en 1989.
C’est quoi la différence entre Switch et Switch OLED ?
De loin, la plus grande différence entre les modèles est l’affichage. Comme le nom du dernier modèle l’indique, il dispose d’un panneau OLED, qui offre une meilleure précision des couleurs, un contraste plus élevé et de meilleures performances d’image globales.
Quelle est la différence entre Switch et Switch classique ? Comme nous l’avons mentionné, les deux unités ont un écran LCD 1280 x 720, mais la taille est différente. Alors que le commutateur principal a un écran de 6,2 pouces, le Switch Lite le réduit à 5,5 pouces avec des cadres plus petits autour de l’écran.