mardi, octobre 3, 2023
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témoignages. La crise de l’urgence vue par les malades : « C’est le quart-monde. J’ai cru que j’avais changé d’avis

Sommaire

Alors qu’Emmanuel Macron et le nouveau ministre de la Santé sont le 31 mai au chevet des urgences de l’hôpital de Cherbourg, en Normandie, des patients du Nord et du Pas-de-Calais nous racontent leur vécu « Un choc, une humiliation », des mots qui reviennent souvent.

Il ne s’agit pas de vouloir incriminer les infirmiers ou l’administration des services d’urgence du Nord et du Pas-de-Calais. Il n’y a pas de processus d’intention, chacun ou presque souligne la bienveillance souvent de ce dernier mais aussi son « dépassement » face à une situation parfois incontrôlée. « Les soins d’urgence ne peuvent pas faire de miracles face au système qui se dégrade et aux médecins de garde qui ne travaillent plus », souligne par exemple Marie-Blanche, elle-même infirmière libérale. Nos derniers articles sur l’hôpital public des Hauts-de-France évoquaient les appels à l’aide des hospitaliers fatigués alors que les plans blancs sont lancés un peu partout pour pallier le manque de personnel. Nous avons simplement, cette fois, donné la parole à ceux qui ne sont jamais entendus : citoyens, patients, via un appel à témoins.

Karine a 47 ans et habite la région lilloise. Cette place commerciale tombe sur la Grand Place de Lille vers 16h30, jeudi de l’Ascension. Très vite sa dinde a doublé de volume. Les pompiers l’ont emmenée au CHR de Lille. « J’ai réalisé à ce moment-là que je n’avais pas mis les pieds aux urgences du CHR depuis des lustres. »

Tout commence, comme pour tout nouvel arrivant, par un premier contact administratif puis un « triage ». « J’ai compris qu’ils récupèrent ensuite (ndlr : sur le brancard des pompiers) le film papier qui protège, pour le réutiliser. Au CHRU, ils n’en ont plus », raconte Karine. Il s’agira, si elle accepte de s’asseoir, de « mettre des circuits courts. c’est plus rapide ». Il l’a mal pris. Assise, le pied suspendu en l’air. « J’ai mal mais je me dis que c’est à 5h30 du soir qu’il va bientôt partir comme on me l’a expliqué. »

Moins d’une heure plus tard, sa radiographie est faite. Karine pense avoir de la chance et se réjouit de lire sa radio pleine d’optimisme. Autour d’elle tout le monde court : « C’est long mais je ne peux blâmer personne, ils continuent et j’attends l’intérieur. » La douleur devient insupportable. Karine glisse sur un banc en métal pour pouvoir « lever la jambe sur le fauteuil roulant ». Son calvaire commence, il s’en apercevra plus tard.

J’ai faim, j’ai soif, j’ai froid. Je suis mal à l’aise. Quatre heures plus tard, ils me disent qu’il est fracturé, qu’il faut le plâtrer

Karine, fracture de la cheville, Lille CHR, 26 mai

A 23h30, plus de six heures après son arrivée, Karine est bientôt dans le plâtre. « Ensuite, ils m’ont mis dans un pantalon de bloc trop petit » car elle ne peut plus porter le jean dans lequel elle est entrée. « J’ai un jean autour du cou comme un sac. Ils me poussent aux urgences à minuit, mon cul est exposé à cause du pantalon en papier qui est trop petit. J’ai mal. Avec les béquilles je porte mon cul. que je peux. J’attends l’Uber, j’ai froid et je pleure d’humiliation. Je supplie les gens dans le hall de ne pas me regarder.

Ils ne commandent pas d’ambulance pour lui, trop chère et pas assez rapide. C’est la seule excuse qui lui sera offerte lorsqu’elle se sentira abandonnée, abandonnée au milieu de la nuit. Son chat dégoulinant lui glace le sang.

Elle explique n’avoir vu que des soignants gentils mais pressés et des patients très patients qui « demandent parfois à partir en signant une décharge » tellement c’est insupportable d’être là. L’attente est violente.

Un monsieur lui raconte qu’il a passé 11 heures dans le circuit court, avant de finalement se rendre au bloc. Encore plus choquant selon Karine, ce court-circuit qui « fait sauter toutes les règles de la discrétion » et du secret médical. « Nous nous sommes habillés dans la salle d’attente devant tout le monde. Un jeune homme à côté de moi doit parler de ses problèmes testiculaires (une contorsion) à l’intérieur de la salle. A l’intérieur, il reçoit également un appel du coroner sur le devoir de savoir s’il vaut la peine d’examiner le vagin de la fille huit jours plus tard. On entend tout, on sait tout sur tout le monde.

C’est le quatrième monde ! J’avais l’impression d’avoir changé de siècle, de pays, d’être dans un dispensaire en Afrique. Nous entendons les cris des personnes qui souffrent à côté de nous. Il n’y a pas de rideaux, rien, pas d’intimité

Karine, une cheville cassée le week-end de l’Ascension

« J’ai le sentiment d’être déshumanisée » résume Karine encore sous le choc quelques jours plus tard. Les mots n’expriment pas la colère, seulement la consternation. Sa fille est aide-soignante, mais elle n’imaginait pas passer par là pour une cheville cassée. « Les gens doivent savoir que c’est comme ça. » A Lille mais aussi à Dunkerque. Vanessa jure qu’elle n’y remettra plus les pieds alors qu’elle vient de s’installer dans cette sous-préfecture du nord.

En février dernier, il ne se sentait pas bien un samedi. son médecin généraliste ne consulte pas le week-end. Vanessa a une maladie auto-immune, le lupus systémique. Le médecin du centre médical lui dit qu’il soupçonne une embolie pulmonaire, qu’elle doit immédiatement se rendre aux urgences sans rentrer chez elle pour prendre quelques affaires. Il lui écrit une lettre qu’elle lui remettra à son arrivée. Son père joue au taxi et elle arrive rapidement aux urgences en début de journée.

Pendant plus d’une heure (1h15), elle attend debout. « Ils me disent d’attendre, je pense que je vais m’évanouir. » Un monsieur qui fait son aveu avec la secrétaire remarque son malaise et lui apporte sa chaise. Personne ne l’avait fait auparavant, pas même un soignant.

La seule personne qui a eu pitié de moi est celle qui est venue me chercher pour un scanner. il m’a donné un verre d’eau puis un second. J’ai tellement pleuré qu’elle m’a aidée.

Vanessa, Urgences de Dunkerque, suspicion d’embolie pulmonaire, en février 2022

La première personne qui la reçoit à l’interrupteur dit qu’avec ce qu’elle a, il faut qu’elle frappe (sic). Nous avons trouvé une civière. Un test PCR est réalisé. « Bingu, ils m’ont laissé partir parce que j’ai le Covid et m’ont enfermé dans une boîte, isolé de tout. » Vanessa est en panique, avec sa maladie, elle pense qu’elle a des risques énormes de ne pas supporter le virus. Depuis le début de la pandémie, elle a tellement été épargnée qu’elle est prudente et attachée aux protocoles sanitaires.

« Pour 7 heures du soir, je me retrouve seul dans cette boîte. J’ouvre une fois la porte pour demander à boire, car la gorge est si sèche et la bouche est pâteuse. Je n’en peux plus, le la soif est terrible. » Une voix cruelle la gronde. « La seule personne qui a eu pitié de moi, c’est celui qui m’a fait passer un scanner. Il m’a donné un verre d’eau puis un autre. J’ai tellement pleuré que ça m’a aidée. » Même ici, le sentiment d’humiliation après 19 heures du soir sur un brancard, seul dans une cabine sans nourriture ni boisson est décuplé quand « je suis jeté dehors à 3 heures dans le froid », car le scanner a n’a rien révélé. Il fait appel à sa famille pour qu’on vienne (prochainement) le chercher. « Il y avait une femme octogénaire dans le couloir qui demandait à manger et à boire tout le temps. » Vanessa est attirée par les lamentations d’une femme (peut-être mourante) laissée seule, surtout lorsqu’elle entend l’équipe commander une pizza car les plats « ne sont pas bons ». Vanessa aurait voulu qu’on apporte un yaourt ou un verre d’eau à la vieille. Juste comme ça. Mais est-ce déjà trop ?

Il y a un tel manque de personnel que nous n’existons pas quand nous arrivons.

Frédérique, urgences d’Arras pour un enfant fébrile

A Arras, début mai, Frédérique nous raconte qu’il s’est battu avec une équipe désorganisée et distraite. « Il y a un tel manque de personnel qu’on n’existe pas quand on arrive », se souvient-il. Avec elle, son fils de 4 ans qui ne va pas bien. La mère sait « en elle » que c’est mal. Mais le pédiatre qu’il voit après une longue attente lui dit de rentrer chez lui. Elle court. Son fils à son arrivée a vomi. Elle retourne à l’hôpital, insiste, supplie. Une méningite bactérienne à pneumocoque est alors diagnostiquée. S’il n’avait pas osé retourner dans l’arène hostile, son fils pourrait mourir en quelques heures. Une erreur médicale ? Un dysfonctionnement dans la prise en charge des Urgences ? Avec son témoignage, Frédérique tient surtout à alerter, rappelant que dans ces conditions de travail, le risque est grand. On est proche de l’accident permanent, de l’erreur qui est malheureusement aux urgences, souvent mortelle.

Des dizaines de témoins se sont manifestés, racontant tous l’interminable attente. « 7h15 pour une entorse chez un enfant de 3 ans, c’est dommage », lâche cette maman de Lens. Beaucoup nous rappellent aussi « que ce n’est pas la date d’hier ». Mais le manque de personnel et la crise des vocations dans les écoles d’infirmières ne laissent présager aucune amélioration future. « Mais, que voulez-vous, tout le monde va encore aux urgences parce qu’il faut trois semaines pour avoir une radio en ville, après une chute. » La voici, du nord au sud.

Pourquoi payer 20 € aux urgences ?

Sommaire

Il remplace le tarif variable et « rend le montant d’une visite aux urgences sans hospitalisation plus lisible pour les patients et usagers, son paiement plus compréhensible et donc plus automatique et sa facturation plus simple pour les équipes hospitalières », affirme le ministère de la Santé.

Pourquoi la prime d’urgence ? Pour le gouvernement, l’objectif principal est d’alléger le fardeau administratif des soignants. Jusqu’à présent, en effet, rien n’était payé à sa sortie des urgences, la facture était avec le patient après son passage.

Est-il payant d’aller aux urgences ?

A partir du 1er janvier 2022, le colis d’urgence patient (FPU) entre en vigueur. Il s’agit d’un forfait de 19,61 € facturé à tous ceux qui se présentent aux urgences d’un hôpital pour des soins non suivis d’hospitalisation.

Qui rembourse les urgences ?

Le forfait patient d’urgence sera intégralement remboursé par la mutuelle, l’assurance maladie complémentaire solidarité (CSS) ou l’assistance médicale de l’État (AME). Si l’établissement effectue le paiement à un tiers, l’assuré peut présenter sa carte Vitale et son attestation de complémentaire santé.

Comment ne pas payer les urgences ?

Enfin, dans quels cas est-ce que je ne paie pas ce forfait aux urgences ? Vous n’aurez pas à payer si vous êtes hospitalisé, si vous bénéficiez d’une complémentaire santé ou si vous faites partie des patients exonérés. Ce qui, au final, représente environ 95 % des patients, selon le ministère de la Santé.

Pourquoi je reçois une facture de l’hôpital ?

Cette facture correspond probablement à la partie complémentaire de vos soins, qui peut être prise en charge par votre organisme complémentaire.

Comment ne pas payer une facture d’hôpital ?

Vous pouvez demander de l’aide. L’assurance maladie (Seguretat Sociale) vous rembourse une partie des frais d’hospitalisation sous certaines conditions. Ainsi, une partie de ces frais (exemple : forfait hospitalisation) reste en principe à votre charge.

Comment contester une facture d’hôpital ?

Pour obtenir la commission il suffit de faire un mail à l’hôpital. Tout courrier parvient au représentant légal qui le transmet à la commission.

Comment ne pas payer les urgences ?

Enfin, dans quels cas est-ce que je ne paie pas ce forfait aux urgences ? Vous n’aurez pas à payer si vous êtes hospitalisé, si vous bénéficiez d’une complémentaire santé ou si vous faites partie des patients exonérés. Ce qui, au final, représente environ 95 % des patients, selon le ministère de la Santé.

Qui va payer les 20 € aux urgences ?

Depuis le 1er janvier 2022, toute personne qui se présente aux urgences sans être hospitalisée doit s’acquitter d’un « tarif d’urgence (FPU) » d’un montant de 19,61 €. Elle peut être prise en charge par votre mutuelle santé (ou complémentaire), si vous en avez une.

Qui ne paye pas aux urgences ?

Peur d’abandonner les soins Ce sera le cas des femmes enceintes de plus de cinq mois et des personnes atteintes d’affections de longue durée (ALD). Les mineurs victimes de violences sexuelles, les victimes du terrorisme et les malades du Covid-19 en sont exemptés.

Puis-je refuser de sortir de l hôpital ?

Vous avez le droit de quitter l’établissement de santé de votre propre initiative (sauf si vous avez été hospitalisé à la demande d’un tiers ou sur décision du préfet). Le médecin vous informera des risques et des conséquences de votre refus et tentera de vous convaincre de vous faire soigner.

Quels sont les 5 droits liés aux droits des patients ? Information et consentement aux soins : information du patient sur son état de santé et consentement aux soins, droit de refuser des soins, droit d’être accompagné par une personne de confiance, droit d’exprimer sa volonté dans des directives anticipées, accès au dossier médical.

Puis-je sortir de l’hôpital quand je veux ?

Ce droit autorise une personne hospitalisée à quitter, quand elle le souhaite, un établissement de santé, même contre l’avis des médecins. Le professionnel de santé doit alors respecter la volonté du patient et ne peut le retenir contre son gré, sauf cas exceptionnel.

Quand Peut-on signer une décharge pour sortir de l’hôpital ?

Lorsqu’un patient refuse les soins proposés et quitte un établissement de soins, il est d’usage de lui faire signer une attestation dans laquelle il reconnaît qu’il quitte l’établissement contre l’avis des médecins.

Quand Peut-on sortir de l hôpital ?

Vous pouvez quitter l’hôpital quand vous le souhaitez La personne hospitalisée peut quitter l’établissement à tout moment. Elle doit avoir été informée des risques éventuels auxquels elle s’expose et signer au préalable une attestation.

Comment signer une décharge pour sortir de l’hôpital ?

Si la personne maintient sa volonté de quitter l’hôpital, le médecin lui fera signer une décharge de responsabilité. Si le patient refuse de signer ce document, le médecin mentionne ce refus sur le document.

Comment faire une décharge médicale ?

Le patient doit apposer la mention « lu et approuvé » sur le document, suivi de sa signature. S’il refuse de signer (si possible), ce refus doit être attesté sur le document par au moins un témoin. Enfin, une dernière précaution s’impose : joindre un duplicata du certificat au dossier médical.

Comment sortir contre avis médical ?

â informer le médecin traitant en lui adressant un courrier précisant les conditions de la sortie de son patient. la possibilité d’examiner leur décision. Des instructions claires et précises sont laissées pour contacter la bonne personne. â assurer le retour du patient à son domicile.

Pourquoi à l’hôpital ?

La première mission de l’Hôpital est le soin et l’assistance : il y a la présence d’un médecin, ainsi qu’un service pharmaceutique. Une deuxième fonction est celle de la sécurité et du contrôle : il s’agissait de freiner la mendicité, avec des mesures de confinement.

Disons-nous un hôpital ou un hôpital?

Pourquoi Va-t-on à l hôpital ?

pour vous soigner (un pansement, des points de suture…), pour faire des examens (une radiographie, une prise de sang…), pour vous donner un traitement (médicaments, perfusion…).

Quelle est l’origine du mot hôpital ?

(Siècle à préciser) De l’ancien hôpital français, ospital, du latin hospitalia (« chambres d’hôtes », puis « refuge pour les pauvres »).

Quel est le but d’un hôpital ?

Un hôpital est un établissement de soins où le personnel soignant peut prendre en charge des patients ou des victimes de traumatismes trop complexes pour être traités à domicile ou en cabinet médical.

Quel est le but de l’hôpital ?

L’hôpital a pour objectif de prendre en charge les patients et de contribuer à leur état de santé et ainsi répondre à toutes les préoccupations de tous les citoyens, quels que soient leur âge et leurs revenus. Il a également un rôle important dans la formation des médecins et des paramédicaux et dans la recherche.

Quelles sont les valeurs de l’hôpital ?

Ils font partie d’une série de principes formalisés au début du 20e siècle :

  • L’égalité Elle implique l’absence de discrimination (race, religion, ethnie, âge, etc.) et le devoir de traiter chacun, quels que soient son état de santé et sa situation sociale. …
  • Neutralité…
  • La continuité…
  • Adaptabilité

Quelles sont les activités de l’hôpital ?

Ils proposent des soins médicaux, curatifs et palliatifs et assurent la rééducation des patients, leur réhabilitation en cas d’atteinte irréversible à leur autonomie et leur réinsertion dans la vie professionnelle et familiale.

Pourquoi vous voulez travailler à l’hôpital ?

Les avantages du travail à l’hôpital Travailler à l’hôpital et dans les établissements sociaux et médico-sociaux est une opportunité. Les valeurs de solidarité et d’accueil, mais aussi le travail de soin au quotidien au service des malades apportent du sens et donc de la richesse dans l’exercice de leur métier.

Qu’est-ce qui vous attire dans le domaine de la santé ?

Leurs raisons d’entrer dans le secteur de la santé varient. La perspective d’un emploi durable en fait partie. Le nombre croissant, combiné au vieillissement de la population et de certaines professions de santé, fait que les professions médicales ne semblent pas en crise.

Pourquoi je veux travailler ?

On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (pour être connu et reconnu), pour voir des gens et enfin pour faire les choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, cuisiner, écrire, etc.

Est-il possible de changer d’hôpital ?

Tout patient peut changer d’hôpital ou de fournisseur de soins de santé pendant le traitement. La loi le permet, mais à condition que sa vie ne soit pas en danger.

Comment changer d’hôpital ? La salariée doit postuler à un poste déclaré vacant dans le nouvel établissement. Le directeur de l’établissement d’accueil doit obligatoirement notifier son accord par écrit. L’agent présente alors sa démission au directeur de l’établissement qui l’emploie en précisant son intention.

Comment se faire transférer dans un autre hôpital ?

Au cours de son hospitalisation, et en fonction de l’évolution de son état, un patient peut être transféré dans un autre établissement. Il doit être informé de la décision de transfert, ainsi que ses proches si nécessaire. A défaut, l’établissement peut être responsable.

Puis-je choisir mon hôpital ?

Pouvez-vous choisir votre hôpital? Le libre choix de l’hôpital, comme celui du médecin, est un principe fondamental inscrit dans la législation sanitaire.

Comment transférer son dossier dans un autre hôpital ?

Chaque patient peut avoir accès à son dossier médical en consultation à l’hôpital, avec un partenaire médical si nécessaire. Il est également possible d’envoyer des copies de votre dossier.

Pourquoi transférer un patient dans un autre hôpital ?

Dans certains cas, l’établissement de soins qui reçoit le patient ne sera pas en mesure de fournir l’assistance la plus appropriée, par manque de ressources matérielles face à une maladie ou un accident précis, par manque de place, en cas d’urgence ou pour cause d’urgence. souhaits des patients.

Comment faire sortir un patient d’un hôpital ?

Un patient est libre de quitter l’établissement où il est hébergé sans l’autorisation du médecin. Cependant, en cas de danger pour sa santé, il doit signer un certificat attestant qu’il en a connaissance.

Comment transférer son dossier dans un autre hôpital ?

Chaque patient peut avoir accès à son dossier médical en consultation à l’hôpital, avec un partenaire médical si nécessaire. Il est également possible d’envoyer des copies de votre dossier.

Comment quitter un hôpital ?

Un patient est libre de quitter l’établissement où il est hébergé sans l’autorisation du médecin. Cependant, en cas de danger pour sa santé, il doit signer un certificat attestant qu’il en a connaissance.

Comment sortir d’une hospitalisation libre ?

L’hospitalisation prend fin sur votre décision et/ou celle du médecin, mais vous êtes libre de sortir même contre l’avis de ce dernier. Dans ce cas, vous devez signer une clause de non-responsabilité. Si vous souhaitez quitter l’établissement sans son accord, vous devrez accomplir d’autres formalités.

Puis-je refuser d’être hospitalisé ?

Ainsi, chacun a le droit de refuser les soins qui lui sont offerts, et il s’ensuit qu’un patient peut refuser d’être hospitalisé lorsque son état de santé l’exige, ou qu’il peut quitter l’hôpital à tout moment. point VI de la charte de la personne hospitalisée).

Qui a droit à une maison de repos ?

Les maisons de repos sont accessibles à toute personne ayant récemment présenté une maladie ou une blessure nécessitant une surveillance ou un suivi médical.

Comment se faire prescrire une maison de repos ? Votre médecin traitant peut vous prescrire un séjour en EHPAD pour votre état de santé. Cependant, vous devez faire une demande d’accord préalable avec l’assurance maladie. Une fois que vous avez ce formulaire, vous pouvez vous adresser à un établissement spécialisé.

Quel est le prix moyen d’une maison de repos ?

Selon le rapport semestriel AViQ 2017, le prix journalier moyen d’un logement en EHPAD est de 42,30 € dans le secteur public, 45 € dans le secteur marchand et 46,30 € dans le secteur associatif, toutes provinces confondues et tous types de chambres, simples ou doubles. , combiné.

Est-ce qu’une maison de repos est payante ?

Le prix d’une chambre particulière varie considérablement d’un établissement de santé à l’autre : comptez entre 65 ⬠et 200 ⬠par jour selon le type d’établissement public ou privé.

Qui doit payer la maison de repos ?

Le logement en maison de retraite est toujours à la charge du retraité et ce coût est souvent supérieur au montant de la pension du retraité.

Quand Va-t-on en maison de repos ?

Les EHPAD pour dépression sont généralement spécialisés pour les personnes souffrant de pathologies comme la dépression, mais aussi de troubles alimentaires (anorexie ou boulimie), d’addictions (alcoolisme, drogues) et de psychose.

Pourquoi aller en maison de repos ?

Les missions principales d’une maison de retraite médicalisée sont de prodiguer des soins adéquats aux patients et de maintenir leur autonomie ou de les rétablir après un traitement de longue durée.

Quand aller en maison de repos ?

Lorsque le maintien à domicile n’est plus possible Votre médecin traitant peut vous prescrire un séjour en EHPAD en raison de votre état de santé. Cependant, vous devez faire une demande d’accord préalable avec l’assurance maladie.

Comment trouver une place en maison de repos ?

Quels sites consulter ? Pour vous aider dans votre recherche, vous pouvez vous rendre sur le portail national officiel Pour-les-personnes-agees.gouv.fr, qui détaille toutes les démarches et aides liées aux maisons de retraite et vous propose un comparatif des tarifs et repos entre Ehpad . .

Comment mettre une personne dans une maison de repos ?

Il est possible de placer une personne en maison de retraite contre son gré. Pour cela, vous avez besoin d’un avis médical. Si votre proche n’a plus la pleine capacité de décision, vous pouvez alors le signaler au procureur de la République.

Comment obtenir rapidement une place en maison de retraite ?

Le moyen le plus rapide de trouver une maison de retraite. Utiliser la plateforme Cap Retraite est la meilleure solution pour vous aider à trouver une maison de retraite le plus rapidement possible.

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